24 juillet 2024 – Canyon d’Inkazkübü

4 participants : Eztitxu, Lolo, Krystof et Jérôme
TPDC : 4h

Bon, allez, c’est moi qui m’y colle. Oh, pas par volonté d’écrire, parce que je suis « puni » ou pour répondre à une obligation… Non, juste, parce que vu les discussions de dimanche et le
faible engouement pour la rédaction des CR, je crains l’oubli. Et il ne faut pas oublier. Non, il ne faut pas oublier ce qu’il s’est passé dans Inkazkübü ce mercredi. Il faut que ça se sache…
Parce qu’il y a du matériel. Il y a à raconter. Je ne dirais pas tout, pour ceux qui veulent de plus amples détails, demandez de vive voix aux protagonistes…

Il y a tellement que je ne sais par où commencer. Les plus pragmatiques me diront, par le début, mais le début ça commence où ? Inkazkübü, nous on l’a attaqué par le milieu, fini, remonté en voiture (en combi), remonté à pied (en combi aussi), fait le début (oui, oui, en combi aussi) et fini par le milieu. Alors, le début du CR…

Généralement, un CR commence par le temps passé dans le canyon, marche d’approche, de retour… Et là, c’est le flou total. Est-ce que ça compte le retour en voiture et remontée à pied,
faire un canyon en fractionné ? C’est compliqué quand on pratique dans un ordre aléatoire…
Toujours est-il qu’on avait gagné une demi-heure de sommeil grâce aux talents de négociatrice d’Eztitxu. Qu’on en avait perdu une autre en attendant les touristes américains.
Une supplémentaire en « organisant » le déroulé de la descente, et encore une en changeant quelques sangles. Bref, départ épique.

Quand je pense qu’on « allait perdre du temps à cause d’Eztitxu qui devait équiper » … Je ne suis pas là pour dénoncer, ni donner des noms, mais quand même. Il m’a même semblé
entendre : « avec G…, c’est plus carré ». Illusion ? Mirage auditif ?

Entre la planification improbable du canyon, les remplacements de sangles par des sangles trop courtes, les déviations dans les couloirs glissants… il y a bien eu quelques tirages d’oreille… Il y a même eut un moment pédagogique hyper important, qui restera dans la confection d’un cabestan, avec le fameux moyen mnémotechnique : 1-2- CABESTAN (écrit en majuscule, parce qu’il faut le crier…)

Il n’en reste que malgré son équipement vétuste, c’est un canyon sympathique et on a bien rigolé. A tel point d’ailleurs que je ne suis pas convaincu qu’il faille le faire de manière « académique » …

Merci aux cadres de nous avoir « conseillé » dans cette aventure.

Lolo

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