Oyanbeltza – 1er décembre 2024

Sortie initiation TPSLP (Temps passé sous le porche 6 h 00)

15 personnes ont répondu à l’invitation. Trois 3 se sont désistées. Cela fait quand même encore du monde.

Cédric, Julien, Christelle, Julie, et Céline issus des JNSC

Franck et Frédéric, les fidèles

Joel, Darioush, Sébastien, Brigitte, et Marc à l’encadrement

Le porche d’Oyanbeltza permet de faire des ateliers techniques comme en falaise, mais de rester à l’abri s’il pleut. Aujourd’hui, il fait grand beau. Ce sera l’occasion d’un pique-nique bien agréable.

Après un regroupement au local, pour une distribution de matériel, on se rend sur le lieu des opérations. Les fidèles sont envoyés à l’équipement sous l’œil averti de Sébastien. Pendant ce temps, on apprend.

  • A mettre son baudrier et à vérifier celui du voisin.
  • Les noms des agrès. « Le truc jaune qui me gêne sur le sternum ! » « Ah tu veux parler de ton bloqueur de poitrine, Le croll de son petit nom ». « Et les trucs pour s’attacher » « Oui, les bien nommées longes courte et longes longue »

Une fois tout le mon habillé et capable de reconnaitre un descendeur d’une poignée, direction, les premiers ateliers en extérieur.

  • Installer et utiliser son descendeur, découvrir la sensation d’être suspendu dans le vide, faire confiance au matériel
  • Se déplacer sur une main courante en utilisant ses longes
  • Installer sa poignée, ses pédales, son croll, son bloqueur de pieds et découvrir les joies de la remontée. « Je force comme un malade et je ne monte pas ! » « Je suis en haut, je n’arrive pas à enlever mon croll !»

On fait une pause et on revient aux fondamentaux.

 D’abord, et on l’oublie trop souvent, réfléchir avant d’agir. Ça fonctionne dans beaucoup de situations. « Ah bah oui je ne pouvais pas monter, j’étais encore longé ! » Le croll, on ne peut pas l’ouvrir si on est encore pendu dessus. La base quoi !

Après un pique-nique riche en échanges, les ateliers sous le porche. C’est un peu plus haut, un peu plus difficile, les cadres sont exigeants et nous rappellent sans cesse ce qu’ils ont dit le matin. Mais ils sont d’une patiente et d’une bienveillance qui nous rassure.

Ça monte, ça descend, Ça se promène sur les mains courantes. Chacun prend conscience de certaines difficultés. Ça s’entraide beaucoup aussi. On découvre que le temps sous terre n’est pas tout à fait le même qu’en surface.

Marc.

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