Séjour Sierra de Guara 18 - 21 mai 2023
JOUR 1
Canyon Formiga
jeudi 18 mai 2023
V3 A4 III
TPDC 3h
Participants en 2 groupes:
Kristof, Alice, Darioush, Gérard, Muriel, François, Bixente, Tristan, Lolo, Lény,
JOUR 2
Canyon Gorgas Negras
vendredi 19 mai 2023
V4 A5 VI
Participants : Romuald, Darioush, Bixente, François
Marche d’approche 3h, TPDC 7h
Un café fumant accompagne le réveil matinal et le silence du camping, encore dans l’obscurité, est percé des seuls chants d’oiseaux. Nous rejoignons le village de Rodellar avec le Vito de Bixente sur la courbe noire de la route fraîchement goudronnée et nous nous équipons pour la marche d’approche. Romuald ouvre la marche d’un pas vif dans le sentier de la Sierra, et trouve régulièrement des fossiles dans les pierres que nous foulons. Le vent est frais.
La pente est régulière jusqu’au village abandonné de Nasarre qui surgit du plateau, mythes et légendes enveloppent ces lieux, un dolmen nous plonge dans des temps encore plus reculés.
Le Rio Alcanadre coule doucement, beaucoup plus bas, dans un tournant, derrière les arbres. Dans la longue descente en lacets, nous ne distinguons pas toujours le sentier. L’ouverture de la gorge escarpée se dévoile alors.
Quelques pommes de terre bouillies accompagnent un repas bref et frugal sous un soleil brillant et les combinaisons Alexis sont enfilées dans un silence méditatif. Telle est ma sensation tout du moins.
Un groupe passe devant nous et nous ne tardons pas à leur emboîter le pas, le lit est extrêmement glissant à cet endroit, le débit d’eau est faible, mais les nombreuses vasques sont superbes. Des eaux vertes ou bleues au gré des variations de couleur de la roche et du reflet du ciel lointain, la douceur des courbes contraste avec les reliefs plus acérés des hauteurs.
Je perds ensuite un peu le fil, l’eau est froide, le vent tout autant et le cerveau semble se mettre à l’économie, porté par le seul objectif de la progression. Darioush équipe lestement un rappel d’une dizaine de mètres, sous une cascade que le vent fait voler en écume, nous rejoignons un autre groupe, leur appareil photo est à l’image des lieux, dantesque.
Après un ou deux autres rappels, quelques sauts, la traversée d’un chaos, des nages brèves, nous débouchons dans un élargissement, où se succèdent de longs biefs et des marches dans le lit de la rivière où se devinent crapauds, chèvres, et là-haut, bien en haut, sentinelles infatigables, les vautours.
Laissant l’échappatoire de côté, nous rentrons dans le Barasil, où l’atmosphère change, les chaos et cascades ont disparus et laissent place à une très longue enfilade de méandres noyées. Un bruit d’eau nous fait nous retourner, quelque chose vient de tomber là où nous étions quelques secondes auparavant. Grimpeurs ? Ils se devinent au détour d’immenses parois déversantes, suspendus à des traits de couleurs.
Les canots gonflables indiquent le rapprochement du but, le pont d’El Puente apparaît alors. Nous arrivons en terrasse. Ravis.
François.
Canyon de la Peonera Inférieure
Vendredi 19 mai 2023
V2 A3 III
Participants : Krystof, Jérôme, Mateo, Alice, Tristan, Lolo, Leny, Gérard et Muriel
TPDC : 4h
Élue rédactrice en chef du CR par Xipo, voici le récit de notre aventure.
La Peonera, c'est lequel déjà ? " Mais si tu sais celui où tu commences par le siphon, là où il y a eu un mort !" cf Muriel
Sacrée aventure ce canyon puisque pour commencer, nous partons 1h plus tard que prévu.
La raison ? La gestion de la cantine du soir par Jérôme. Une fois donc la commande des 20 burgers passée, nous mettons les voiles.
La distance qui sépare le départ de l'arrivée nous obligeant à faire une navette, nous prenons le temps de nous (re) motiver sous le soleil jusqu'au retour de nos 2 chauffeurs.
Arrive la classique marche d'approche de 25 min selon les dires de GG, qui finira en 45... Ce n'est pas grave, ça nous aura réveillé !
Départ : la Chine ! Forcément, avec une 1h de retard sur la planif', les touristes sont de sortie.
Ceci dit, nous en profitons pour prendre des forces.
Puis, cela aura au moins permis à Lolo de se rendre compte du : pourquoi la marche était si épuisante.. Ooooh quelques pierres ont été rajoutées dans son sac... (On ne balancera pas les copains.)
Après une petite heure de pause, nous mettons enfin les pieds dans l'eau, FROIDE, GLACIALE !
Un guide nous informe en plus qu'un hélico est sur le point d'arriver, suite à la méchante glissade de sa cliente. Ça commence bien !
Nous entamons donc enfin cette longue randonnée aquatique. Malheureusement, de nombreux groupes nous précèdent sur la partie la plus froide, mais nous profitons de la roche pour nous réchauffer hors de l'eau.
Arrivent les sauts tant attendus par tous, où nous prenons le temps de nous amuser dans une eau on ne peut plus chaude!!!!!
Rien de très épique sur la suite, un très beau canyon ludique avec de superbes passages encaissés où s'enchaînent plusieurs possibilités de sauts pour ravir tout le monde.
Pour un finir sur un traditionnel retour au camping autour d'une bonne bière bien méritée, en attendant les aventures de l'équipe du Gorgas !
Muriel
JOUR 3
CANYON OSCUROS DEL BALCEZ
Samedi 20/05/2023
V2 A5 III
TPDC : 2h00
Marche d´approche : 1h
Retour : 40min
Participants :
- Muriel (licenciée LM)
- François (licencié LM)
- Darioush (licencié LM)
- Christophe (licencié LM)
- Romu (licencié LM)
- Bixente (licencié LM)
Nous voilà reparti une nouvelle fois avec la fine équipe pour de nouvelles aventures en Sierra de Guara !
Je remets le contexte. Nous sommes au troisième jour. Certains ont fait Gorgas negras la veille, Gérard pleure déjà sa bouteille de Diplomatico sortie la veille mais les organismes sont encore au top !
Nous commençons toutefois à sentir un petit coup de mou au sein de l’équipe après avoir supporté Muriel pendant 3 jours. N’est-il pas là, le vrai défi de ce séjour ?
Après un faux départ matinal :
- tu as pris la corde ?
- non… C’est pas toi qui la prise ?
- Non… Ah ouai ? T’es sûr…
- Bon… Ben… Demi-tour…
- Ca y est, on est au camping. On était à quel emplacement déjà ?
- A celui-là là-bas. Regarde, y a encore Lolo et Jérome qui décuvent 😊
- Vite, prend la corde et on repart. Ils risquent de nous vomir dessus… Ou pire, de nous raconter ses longues années de travail avec Gégé et là, on est pas parti !
Nous voilà donc reparti, mais cette fois-ci, pour un vrai départ.
Nous laissons la voiture au parking.
Avant d’entamer la marche d’approche, nous essayons de refiler une petite corde à Muriel qui a pour habitude de narguer les porteurs en accélérant sur la marche d’approche. Mais cette tentative fut vaine. Muriel a de bons arguments et un discours bien rodé :
- J’ai mal au dos, vous dis-je !
Peiné par cette annonce, et ayant défait une corde de trop, le groupe demanda à Muriel si elle pouvait lover la corde avant de la remettre dans la voiture. Mais là encore, un argument imparable fut mis en avant :
- J’ai les bras trop courts, vous dis-je !
Quelques rires sortirent timidement et discrètement car, nous devons vous l’avouer, en fait, dans le groupe, tout le monde a un peu peur des réactions de Muriel. Je prends de gros risques en écrivant ce compte-rendu. J’espère que vous en êtes conscient et que vous me protègerez.
La marche d’approche fut assez rapide et fort sympathique. Ça descend tout de même assez raide.
Nous voilà maintenant à l’entrée du canyon. Près à entrer dans le vif du sujet. Enfilage de combis, et c’est parti !!!
C’EST BON CA !!!
Le canyon fut un moment de pur bonheur. Un cadre magnifique. Des enchainements de sauts et de rappels dans des vasques bleu/vertes somptueuses.
Des sauts de la truite effectués presque à la perfection. Nous avions quelques beaux spécimens dans le groupe, il faut l’avouer.
Dans une ou deux vasques, nous avons bien été tenté de couler Muriel mais là aussi, elle nous a tout de suite arrêté :
- Ne faites pas ça ! J’ai le bras long !
A partir de là, nous n’avons plus rien compris… Elle a les bras trop courts ou trop longs ?
A la fin du canyon, après être remonté 10 fois sur le dernier saut, nous décidons de nous restaurer (et oui, dans le groupe, il y a Christophe aussi 😊).
Après ce petit moment de détente bien mérité au soleil, nous voilà reparti pour le retour jusqu’à la voiture. Pour ce qui ont suivi : l’aller descendait sec. Je nous ai jamais encore vu remonter des canyons. Le retour devrait donc ?... Il devrait donc ?... Remonter aussi sec !!! Bien, Christophe !
Quelques gouttes de transpiration plus tard, nous arrivons à la voiture. Prêt à entamer le second défi de la journée : El barranco fondo !
Mais avant, on mange de nouveau (et oui, je vous re-rappelle que nous sommes avec Christophe !) et surtout, on se change car Gégé a dit : « c’est un canyon sec les gars! » Et quand Gégé parle, dans le groupe, tout le monde approuve. Il faut dire que c’est un peu notre papa, Gégé ! 😊
La pluie pointe le bout de son nez. En quelques minutes, nous voilà abrité sous un abris poubelle.
Bien décidés à enchainer ce second canyon, nous voilà partis pour une nouvelle marche d’approche mais, cette fois-ci, de 2 minutes !
Arrivé devant le premier rappel, une intuition nous dit que nous devrions tout de même regarder la topo. Bien que Gégé ait parole d’évangile, le coup des vasques sèches et du canyon de 2h nous semble… à vue d’œil… comment dire… foireux…
N’ayant pas de réseaux, nous remontons jusqu’à notre nouveau fief : l’abris poubelle, pour consulter la topo. C’est alors qu’à notre grande surprise, nous trouvons des commentaires croustillants annonçant des temps plus élevés que prévu et surtout un panel croustillant de vasques croupies.
Etant parti en maillot et l’heure avançant, nous décidons raisonnablement de renoncer à cette deuxième aventure de la journée pour profiter de bonnes bières à Kalandraka !
Le récit de l’autre groupe ayant suivi « El Padre Gégé » nous donnera raison. 😊
Encore un grand merci aux organisateurs de ce week-end fantastique et à tous les participants pour leur joie et leur bonne humeur !
Bixente
BARRONCO FONDO, LE CANYON ‘SEC’
Samedi 20 mai 2023
V4 A1 IV
Participants : GG, Tristan, Lolo, Lenny, Jerôme, Roméo, Alice.
TPDC : 4H
Compte tenu d’une météo aléatoire et potentiellement pluvieuse certains ont eu l’idée lumineuse d’un canyon sec, mais sec hein ! Pas de combi. La météo finit par annoncer 0 mm donc pas de Kway non plus… . L’idée était d’apprendre à équiper pour 3 d’entre nous, pour un jour peut être revenir se mesurer à des Gorgas Negras ou au Mascun (Ce canyon aura eu le mérite de mettre à rude épreuve notre endurance pour s’y entrainer activement.) El Barronco Fondo débute par une large entrée avec une vue superbe sur des falaises polies par les éléments. Des chèvres acrobates semblent y vivre et y mourir.
Grand soleil. Nous commençons à équiper, chacun son tour, par équipes. L’une pose un relai, l’autre prend la suite, ça débraye au doux son des mousquetons. On bronze presque. Surtout c’est très instructif. On croise des groupes d’espagnols qui descendent tout en double, ça a l’air tellement plus cool que nos « huit » tout enroulés et plein de dégaines, mais on se sent en sécurité, c’est notre petite « french touch ». Peu à peu le canyon se rétrécit, et les temps d’ensoleillement avec. C’est bien placés en file indienne et en position d’attente à un relai que la pluie nous surprend. On prend notre douche tranquillement en T-shirt, dans un endroit qui ressemble de plus en plus à une tranchée de 14-18…Pour une fois je suis contente d’avoir un sac à dos, je commence même à me demander si je ne pourrais pas me tricoter un pull avec les cordes en cas de force majeure.
Le canyon se poursuit avec un passage dans un lit de rivière asséchée et boisée, très jolie, bucolique, on se croirait presque en fin de canyon. Puis nous retrouvons les falaises, les rappels et …oh de l’eau ! De belles vasques bien remplies et croupies…Bien décidés à faire un canyon sec on essaye des trucs pour éviter de se mouiller, chacun sa technique, ça travaille l’opposition, parfois un pied fait trempette et c’est rigolo. Le canyon se resserre et se referme au-dessus de nous peu à peu. Nous arrivons dans des méandres où éviter l’eau est de plus en plus compliqué. Je tente une dernière opposition, à bonne hauteur, qui finit par bien m’aplatir le coccyx au fond d’une vasque (j’écris en ce moment même ce CR avec un sac de congélation sous les fesses, oui celui avec les petits pois)…mouillée comme un rat je pointe mon nez vers la suite qui n’annonce rien de mieux, une succession de couloirs emplis d’eau, fini les oppo, va falloir se mouiller !
Tout le monde avait sa petite façon de crier en entrant dans l’eau ensuite…on a fini avec un je-ne-sais-quoi de reptilien dans le regard, tous en mode survival, c’était très drôle même si ça me faisait mal au coccyx de me marrer. Faut dire qu’on avait hâte de trouver la sortie et d’aller se réchauffer sur les berges des Oscuros de Balces. Barronco Fondo débouche sur ce deuxième (magnifique) canyon que nous avons remonté d’un pas pressé jusqu’à la marche retour, pentue, parfaite pour se réchauffer et bien sentir son coccyx. Mémorable ce canyon !
Alice
JOUR 4
Canyon du Gorgonchon
dimanche 21 mai.
V3 A5 III
Participants:
Groupe 1 : François, Gérard, Bixente et Tristan. TPDC 1h
Groupe 2 : Lolo, Lény , Kaiet et Xipo. TPDC 1h10
Dernier jour à la Sierra de Guara nous partons faire un petit canyon aquatique d'une heure, le Gorgonchon.
L'eau étant froide et le Gorgonchon très aquatique avec peu d'endroit où se mettre au sec nous ne partons qu'à 8 diviser en 2 groupes de 4 pour aller plus vite.
Gérard, Bixente, François et moi dans le premier groupe et Lény (et les autres dans le second).
Sous les conseils de Gérard et parce que le canyon est très étroit, François et moi décidons de faire la première partie du Canyon le dos sur une paroi et les deux pieds sur celle d'en face car "Vous risquez d'être bloqué plus loin si vous allez dans l'eau".
Jusqu'à ce que, bien sûr, l'on voit 5 minutes plus tard Bixente nous passer entre les jambes en nageant, "Bah, vous savez que vous pouvez nager c'est plus simple".
A peine le temps de faire trempette et c'est déjà fini, une heure ça passe vite mais ce canyon aura été super beau.
Le premier groupe enlève leur combi et attend le second puis c'est parti pour la marche de retour. Bixente, François et moi trouvons le moyen de nous perdre et de doubler le temps de retour (environ 30 minutes, donc ça va). Nous arrivons aux voitures quasiment en même temps que le second groupe et on me fait remarquer que j'ai oublié mon baudrier en bas. Heureusement (pour moi) Lény me l'a porté.
Tristan
Epilogue
Canyon « El Puente »
Participants : tout le monde
TPDC : des heures.
Nous partîmes à deux ; mais par un prompt renfort
Nous nous vîmes vingt et un en arrivant au port,
Tant, à nous voir marcher avec un tel paquetage,
Formiga fut fait avec tant de courage !
Nous montons les tentes, aussitôt qu'arrivés,
Dans le début du camping, la place fut trouvée ;
Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,
Brûlant d'impatience, autour du bar demeure,
Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit
Passe une bonne part d'une si belle nuit.
La suite est plus triviale : bières, plancha, bières, fromage, vin rouge, dessert, bières…
Nuit aléatoire, réveil pathétique, petit déjeuner silencieux, brossage de dent expérimental… Bref, tout ce qu’il faut pour se jeter dans la Peonera.
Mon profond silence abusant leurs esprits,
Ils n'osent plus douter de m’avoir surpris,
Mon sac, de cailloux, rempli par des mains habiles,
Je m’en aperçu, pendant le départ des 45 débiles
Un jeu venait d’être lancé : le remplissage de sac. Krystof en fut l’initiateur, Bixente, le champion du monde : remplir le sac de Romuald et faire accuser le Président : superbe exploit !
Ô combien d'actions, combien d'exploits célèbres
Sont demeurés sans gloire au milieu des ténèbres,
Les soirées se suivent avec une dominante : apéro devant nos tentes. Puis, apéro au bar. Repas au restau. Par contre, ce deuxième soir, une petite innovation, qui n’aura pas trop d’incidence sur le séjour, si ce n’est un réveil de plus en plus catastrophique : une bouteille de Diplomatico surgit lors du débriefing. Je dois dire que cette apparition fut salvatrice, les débats s’éternisaient, les avis les plus téméraires s’opposaient aux prudents, le choix des canyons devenait problématique. Ce breuvage a des vertus pacificatrices inattendues… Il faut dire également, que le nombre de participants au symposium s’était réduit comme peau de chagrin…
Nuit pathétique, réveil aléatoire, petit déjeuner expérimental (avec ou sans Nutella), brossage de dent silencieux…
Tout ça pour enchainer sur un canyon « à sec ». Etonnante définition, dont je laisse le détail à plus qualifié que moi.
Retour de canyon. Partage des expériences. Contage des anecdotes. Apéro devant les tentes. Du classique…
Le restau le fut un peu moins -classique. Problème de réservation, 20h00 ? 20h30 ? 21h30 ? Paella pour tous, dessert pas pour tous. Rosé, pas rosé ? Qui fait les CR ? Que des questions existentielles avant d’entamer un nouveau débriefing. Plus animé celui-là. On a même joué les prolongations. Puis on a assisté à la démission des élites : on ne s’est retrouvé que 8 dans le Gorgonchon, les autres préférant batifoler -ou pas, dans l’eau clémente du camping.
Nuit expérimentale, réveil silencieux, petit déjeuner pathétique (qui a pris tout le Nutella ?), brossage de dent aléatoire…
Canyon pour les courageux, grasse mat’ pour… je vous laisse le choix des mots…
Repas de midi (qui en canyon tourne plutôt vers les 15h00). Restau fermé, partage des restes… Photos. Discussions. « On y va ». Discussions. Discussions. « On y va ». Discussions. « On y va ». Discussions. « On y va ». Ce coup-ci, c’est parti.
Nous chargeâmes les voitures en même temps ;
Et le combat cessa faute de combattants.
Les vers en italique sont librement inspirés du Cid de Corneille….
LOLO