Nuit magique dans le paradis blanc de Leize Handi
Samedi 10 et dimanche 11 février 2018
Samedi : Youssra, Gilen, Stéphane, Serge
Dimanche : Stéphane, Serge
Suite du compte rendu du samedi.
Pour rappel, nous partîmes gais et joyeux pour une aventure poudreuse fraîche et détendue.
On a vite assez chaud pour enlever une première couche.
Gilen nous fait (un peu) rire avec ses expériences qui foirent toujours...
Pause déjeuner, c'est là qu'on se sépare.
Après la pause déjeuner donc, nous grimpons à deux, le pas lourd, l'estomac plein, mais le coeur léger.
Très vite, le premier doute avec ce panneau d'indication routière... et pas une bagnole pour nous aider !
Du coup, on grimpe, on grimpe, on grimpe, en espérant tomber sur le bonne cabane !
Oui, sauvés, c'est bien la bonne, du moins, la clé ouvre la porte...
Petite pause magique avant la construction de l'igloo, sous un soleil de plomb.
Un dernier petit coup d'oeil et on se réchauffe les arpions.
Juste avant le repas du soir, frugal, sobre et quasi monacal...
Bon, après une bonn... courte nuit de pseudo sommeil, voilà-t-y pas que mon eskimau de service tambourine à la porte à la minuit, me priant de lui ouvrir, car la nuit dans son igloo n'est pas à la hauteur de ses espérances...
Ours, loups, bise et tornade ont tôt fait de lui rafraîchir ses pieds qui dépassaient de 30 cm de sa tombe de neige.
Bon prince, je lui autorise sa fin de nuit dans mon palais.
Dès potron-minet, le café avalé (pour l'un) et le rizotto à la crème ingurgité (pour l'autre), nous dévalons la piste de la veille sous un crachin Urkuléen...
Arrivés à la bagnole sains et saufs, le plus grand risque que nous ayons pris étant la traversée de la forêt d'Orion au milieu des chasseurs de sangliers...
Ni trop froid, ni trop dur, ce weekend, on a frisé la perfection...
Dommage pour ceux qui sont pas venus.
Serge