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Voyageurs des strates
27 septembre 2020

Elutxeko lezia - Le Landais - interclubs CDS 64

Dimanche 27 septembre 2020

Christophe, Jérôme et Serge - Leize Mendi
Jean et Yannick - SSPPO

T.P.S.T. 7 h 00

À l’origine, il était prévu de faire découvrir aux amis du CDS 64 ce joyau qu’est le EL 71 (ou gouffre sandwich). 12 personnes s’étaient manifestées, un triomphe…

Mais voilà, il faut une météo béton pour cette entrée trop proche du ruisseau et très réactive en cas de pluies abondantes. Du coup, nous nous replions sur le Landais ou Elutxeko lezia. Re du coup, cette cavité étant plus connue, nous nous retrouvons à 5.

Pas de souci, nous partons dès le café et les kits préparés.
Jérôme et Christophe s’occupent de l’équipement, il est doux pour un ancien de se laisser porter par les « jeunes » du club.

Il est encore plus doux de se permettre de critiquer, ici ou là, une main courante trop lâche, un fractionnement trop bas, un nœud mal foutu. Privilège de l’âge ?

Entrée à 10 h 00. Nous démarrons bien sûr vers le réseau de gauche, où, bien entendu, je me perds. Obligé de rebrousser chemin vers la chatière qui est sèche, archi- sèche, un peu comme les chaussetttes de qui-vous-savez.

Au final, notre équipe avance bien.

La progression est confortable avec, il est vrai, des infiltrations en plafond étrangement faibles mais des niveaux d’eaux dans l’actif assez conséquents. Ça pulsait pas mal dans la rivière, encore plus à la cascade Christel et donc très impressionnant à la cascade de l’ours.

Nous remontons tranquille vers le fossile pour casser une petite croûte à midi pile à la salle des griffades.

Départ ensuite vers la galerie des merveilles (merci aux landais d’avoir bien nettoyé et re-balisé les passages pour respecter les lieux) que nous atteignons rapidement. Du coup, Christophe insiste pour ajouter le réseau 3 vers le siphon d’équilibre à notre tableau de chasse.

1 heure et demi aller/retour qu’y disait !

Ici, c’est plus laborieux. L’équipement est plus complexe, la progression dans le gras et humide nous ralentit, mais le résultat est magnifique. Que c’est beau !

Mais on a mis quand même 3 heures !

Blasés et rassérénés par le résidu du fond de nos gamelles, nous remontons et désignons Jérôme au déséquipement.

Tout le monde dehors à 17 h 00, il fait soleil.

Nettoyage du matériel au Jaï Alaï, petite bière fraîche au local et bises à tous avec le masque.

Serge

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